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Brahmia Hadjer

Brahmia Hadjer
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9 juin 2008

Bienvenu

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9 juin 2008

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9 juin 2008

Ferdinand de Saussure

AilisArt_Saussure_croppedFerdinand de Saussure est un linguiste suisse, né à Genève le 26 novembre 1857 et mort au château de Vufflens-sur-Morges le 22 février 1913. Reconnu comme fondateur du structuralisme en linguistique, il s'est aussi distingué par ses travaux sur les langues indo-européennes.

On estime (surtout en Europe) qu'il a fondé la linguistique moderne et établi les bases de la sémiologie. Dans son Cours de linguistique générale (1916), publié après sa mort par ses élèves, il définit certains concepts fondamentaux (distinction entre langage, langue et parole, entre synchronie et diachronie, caractère arbitraire du signe linguistique, etc.) qui inspireront non seulement la linguistique ultérieure mais aussi d'autres secteurs des sciences humaines comme l'ethnologie, l'analyse littéraire, la philosophie et la psychanalyse lacanienne.

Issu d'une famille genevoise d'illustres savants, Ferdinand de Saussure est né en 1857. Il est le fils de Henri de Saussure, entomologiste, le frère de René de Saussure, espérantiste et le père de Raymond de Saussure, médecin et psychanalyste. On peut également noter dans sa généalogie Horace-Bénédict de Saussure, naturaliste et géologue, son arrière-grand père, considéré comme le fondateur de l'alpinisme, et le fils de ce dernier Nicolas Théodore de Saussure, chimiste et botaniste.

Après avoir achevé ses études secondaires, il se rend en 1875 à Leipzig où se trouvait alors la plus célèbre université de philologie de l'époque, puis à Berlin et à Paris. En 1877, Saussure communique à la Société de linguistique de Paris son Mémoire sur le système primitif des voyelles dans les langues indo-européennes. Deux ans plus tard, il présente à Leipzig sa thèse de doctorat : De l'emploi du génitif absolu en sanskrit. Il travailla ensuite quelques années en France, où il enseigna la linguistique indo-européenne avant de retourner en Suisse. Là, il reçut une chaire de linguistique et enseigna, entre autres, le sanskrit, le lituanien et la linguistique générale.

9 juin 2008

Les semi-voyelles

Les semi-voyelles (appelées également semi-consonnes, bien que l'on préfère généralement le premier terme) sont des voyelles non syllabiques qui forment des diphtongues avec des voyelles syllabiques. Leur comportement est cependant plus proche de celui d'une consonne que de celui d'une voyelle. Elles se distinguent des consonnes spirantes, qui leur sont similaires, par une articulation moins haute. En notation phonétique, on les écrit habituellement en ajoutant le marquage non syllabique " ̯" de l'alphabet phonétique international au symbole de voyelle, mais bien souvent on simplifie en n'écrivant que la voyelle seule.

Par exemple, l'exclamation anglaise wow peut se transcrire [waʊ̯] (ou [waʊ] sous forme abrégée). Même si le [w] et le [ʊ̯] sont tous deux similaires à la voyelle [u], cette transcription indique que le premier est considéré comme une consonne, alors que le second forme une diphtongue avec la voyelle précédente. La spirante [w] est plus resserrée et donc plus de type consonne que la semi-voyelle [ʊ]. (L'usage du [aʊ̯] pour la diphtongue plutôt que du [æu̯] auquel on pourrait s'attendre constitue une question phonétique mineure.)

En raison de leur similarité, les termes semi-voyelle et consonne spirante sont souvent utilisés de façon interchangeable. Dans un tel contexte, les semi-voyelles sont définies comme les spirantes correspondant phonétiquement à certaines voyelles hautes particulières. On trouve ainsi : [j] correspondant à [i], [w] à [u], [ɥ] à [y], et [ɰ] à [ɯ]. Cependant, il existe dans certaines langues comme le népalais des semi-voyelles correspondant à des voyelles moyennes telles que [e] et [o]; de telles semi-voyelles, bien que non syllabiques, ne sont absolument pas de type consonne.

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9 juin 2008

la linguistique comparée

              Linguistique comparée

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La linguistique comparée (ou encore linguistique historique ou grammaire comparée) est une discipline de la linguistique qui étudie l'histoire et l'évolution des langues (prises individuellement) ou des familles de langues. C'est une discipline éminemment diachronique. La linguistique comparée procède de la philologie, terme qui, parfois, doit être compris comme un synonyme bien que les deux disciplines soient différentes.

La principale méthode de travail repose sur la comparaison, entre les différents états d'une même langue ou entre des langues différentes mais issues d'un même ancêtre. Elle permet, en relevant des concordances régulières phonétiques, syntaxiques et, plus rarement, sémantiques, d'établir des parentés entre les langues. Elle a donc comme premier objet d'étude les similarités formelles révélées par ces comparaisons. C'est la linguistisque comparée qui permet donc d'établir de manière scientifique l'existence des familles de langues qu'on dit alors liées par des relations génétiques ; elle étudie ainsi :

  • comment une langue-mère donne naissance à ses langues-filles  ;
  • la nature des liens entre la langue-mère (parfois disparue) et les langues-filles ;
  • les innovations et les similarités qui subsistent entre les langues-filles elles-mêmes, etc.

Par exemple, elle permet de savoir que bien que d'apparence très proches (par l'écriture et le lexique), deux langues comme l'arabe et le persan n'ont aucun lien de parenté, mais que ce dernier est de la même grande famille que le français ou encore, plus lointainement, l'islandais.

Elle s'intéresse donc avant tout aux évolutions connues par ces langues au cours de leur histoire, qu'elles soient sémantiques, phonétiques, phonologiques, lexicales, syntaxiques, etc. La branche la plus importante de la linguistique comparée est cependant la phonétique historique, seule discipline portant sur des évolutions que l'on peut décrire de manière formelle et objective et seule encore permettant d'affirmer qu'un mot B provient bien d'un mot A ou que des mots B, C et D sont tous dérivés d'un étymon commun A et sont donc liés historiquement. L'étymologie est, en sorte, le résultat d'une démarche comparative : c'est par une telle démarche qu'il faut passer pour savoir qu'un mot français comme legs ne vient pas, malgré la graphie fautive due à l'étymologie populaire, de léguer mais de laisser. La reconstitution d'étymons à l'origine de mots tirés de différentes langues-sœurs, quant à elle, demande une démarche comparative encore plus forte. Il faut en effet trouver le signifié originel d'un terme à partir de ses résultats dans les langues en question, signifié originel qui, en se transmettant dans des langues dont l'évolution est autonome (et l'on sait que l'évolution sémantique ne suit aucune règle précise), a pu se modifier dans des proportions importantes.

Si l'existence d'une origine commune à plusieurs des langues alors parlées en Europe avait déjá été proposée en 1647 par le linguiste hollandais Marcus Zuerius van Boxhorn, puis, à nouveau, en 1786 par l'anglais William Jones, c'est Franz Bopp qui, par ses exposés sur l' indo-européen primordial, a justifié la linguistique comparative et qui fonda par son enseignement et par ses publications une science nouvelle, la Grammaire comparée. Franz Bopp a en outre prouvé l'appartenance des langues celtiques aux langues Indo-européennes. En effet il faut attendre les premières années du dix-neuvième siècle pour que des allemands, comme Franz Bopp et les frères Jacob et Wilhelm Grimm, et parallèlement, une figure plus isolée et moins connue, le danois Rasmus Rask, abordent un domaine jusque-là inexploré, celui des rapports qu'offrent à l'observateur attentif les ressemblances manifestées entre elles par les langues classiques (grec, latin), les langues germaniques, langues slaves, le persan et surtout la langue ancienne de l'Inde, le sanscrit, dont la connaissance se répand alors. A cet ensemble de langues se sont progressivement adjoints les langues celtiques, les langues baltes, l'arménien, l'albanais, puis, au 20e siècle, le hittite et le tokharien (langues toutes deux éteintes), pour constituer la famille de langues d'abord baptisée indo-germanique, puis indo-européenne.

Parmi les principales familles de langues étudiées par la linguistique comparée, on peut citer les langues indo-européennes, sémitiques, chinoises, nigéro-congolaises ou encore austronésiennes, qui forment de très vastes familles. La linguistique comparée des langues indo-européennes est, de loin, la plus développée.

Outre l'établissement de familles de langues, la linguistique comparée permet surtout la reconstruction d'une langue-mère préhistorique (c'est-à-dire non attestée directement au moins par l'écriture) au moyen des seules traces qu'elle a laissées dans ses langues-filles historiques (traces qui sont les points de convergence des différentes similitudes). Elle autorise à reconstituer, de manière parfois floue et supposée, mais toujours en suivant des méthodes scientifiques, des ancêtres lointains comme l'indo-européen ou le chinois archaïque (pour ce dernier, il convient de noter que si c'est une langue d'époque historique, son système phonétique et phonologique est cependant dissimulé par l'écriture chinoise ; ainsi, la phonétique historique comble ces lacunes). Le postulat principal est le suivant : si, dans des langues A, B, C, et D qu'on sait génétiquement liées, on retrouve par comparaison une caractéristique donnée (lexicale, morphologique, phonétique, etc.), il est probable que cette caractéristique provienne de la langue-mère. C'est par le recoupement de toutes ces caractéristiques partagées que l'on peut obtenir une image lointaine de la langue-mère, le grand nombre de points communs permettant de rejeter la possibilité d'une stricte coïncidence (comme les mots faussement apparentés).

Bien évidemment, la reconstruction des langues-mères permet de confirmer l'existence des familles de langues, et inversement. Les deux objets d'étude en question sont intrinsèquement liés.

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9 juin 2008

narration

In literature and film, an unreliable narrator (a term coined by Wayne C. Booth in his 1961 book The Rhetoric of Fiction[1]) is a literary device in which the credibility of the narrator is seriously compromised. This unreliability can be due to psychological instability, a powerful bias, a lack of knowledge, or even a deliberate attempt to deceive the reader or audience. Unreliable narrators are usually first-person narrators, but third-person narrators can also be unreliable.

The nature of the narrator is sometimes immediately clear. For instance, a story may open with the narrator making a plainly false or delusional claim or admitting to being severely mentally ill, or the story itself may have a frame in which the narrator appears as a character, with clues to his unreliability. A more common, and dramatic, use of the device delays the revelation until near the story's end. This twist ending forces the reader to reconsider their point of view and experience of the story. In many cases the narrator's unreliability is never fully revealed but only hinted at, leaving the reader to wonder how much the narrator should be trusted and how the story should be interpreted.

The literary device of the unreliable narrator should not be confused with other devices such as euphemism, hyperbole, irony, metaphor, pathetic fallacy, personification, sarcasm, or satire; it may, however, coexist with such devices, as in Bret Easton Ellis’ American Psycho, a satire[2] whose narrator is unreliable (and thus not credible). Similarly, historical novels, speculative fiction, and clearly delineated dream sequences are generally not considered instances of unreliable narration, even though they describe events that did not or could not happen.

Some works suggest that all narrators are inherently unreliable due to self-interest, personal bias, or selective memory; "reliable narrators" would be "unreliable narrators without hints or clues of their very own unreliability".

fleurs

 

9 juin 2008

THE SUBJONCTIF

Subjonctif - French Subjunctive

 

Regular verb conjugations

Many students of French find that the subjunctive is very difficult to master, but hopefully this lesson will simplify matters for you. In Part I, we will learn how to conjugate the present subjunctive of regular verbs. In Part II, we will learn the present subjunctive of irregular verbs. And finally in Part III, we will learn to use the subjunctive.

For all regular verbs (-ER, -IR, and -RE), take the 3rd person plural form (ils) of the present tense of the verb, drop the -ent ending to find the stem, and add the subjunctive endings as follows:

                                                                                                 
 

 

 
 

 

 
 

parler

 
 

choisir

 
 

rendre

 
 

Ils...

 
 

 

 
 

parlent

 
 

choisissent

 
 

rendent

 
 

stem

 
 

 

 
 

parl

 
 

choisiss

 
 

rend

 
 

Subjunctive endings

 
 

 

 
 

 

 
 

 

 
 

... que je

 
 

-e

 
 

parle

 
 

choisisse

 
 

rende

 
 

... que tu

 
 

-es

 
 

parles

 
 

choisisses

 
 

rendes

 
 

... qu' il/elle/on 

 
 

-e

 
 

parle

 
 

choisisse

 
 

rende

 
 

... que nous

 
 

-ions

 
 

parlions

 
 

choisissions

 
 

rendions

 
 

... que vous

 
 

-iez

 
 

parliez

 
 

choisissiez

 
 

rendiez

 
 

... qu' ils/elles

 
 

-ent

 
 

parlent

 
 

choisissent

 
 

rendent

 

Note that -IR verbs like sortir and partir and -RE verbs like mettre which are irregular in the present tense are regular in the subjunctive.

                                         
 

 

 
 

partir

 
 

mettre

 
 

... que je

 
 

parte

 
 

mette

 
 

... que tu

 
 

partes

 
 

mettes

 
 

... qu' il/elle/on 

 
 

parte

 
 

mette

 
 

... que nous

 
 

partions

 
 

mettions

 
 

... que vous

 
 

partiez

 
 

mettiez

 
 

... qu' ils/elles

 
 

partent

 
 

mettent                                          

 
9 juin 2008

segmentation

De manière générale, le mot segmentation zzzsyxi0désigne l'action de segmenter, le fait de se segmenter ou son résultat. En particulier, le mot est employé dans les domaine suivants :

  • en mécanique automobile, la segmentation a pour fonction      d'assurer l'étanchéité du piston dans le cylindre ;
  • en biologie,      la segmentation d'un œuf fécondé
  • en imagerie,      la segmentation d'image est la division      d'une image en zones homogènes afin de séparer les divers composants      visibles et de les identifier ;
  • en informatique :     
    • la segmentation est une       technique ayant pour objectif de diviser la mémoire physique en       segments ;
    • une erreur de segmentation désigne un       type d'erreur lors de l'exécution d'un programme
  • en réseaux informatiques, la segmentation      est une opération effectuée par le protocole TCP sur les flots de données      provenant des applications;
9 juin 2008

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6 juin 2008

transcription phonétique

guide de transcription phonétique

Un livre de Wikibooks.

Aller à : Navigation, Rechercher

  1. Pour transcrire en Alphabet Phonétique International (API) un texte écrit, il est conseillé dans un premier temps de le lire plusieurs fois d'une manière aussi proche que possible de l'oral ordinaire. Le travail depuis un enregistrement préalable est grandement recommandé.
  2. Il convient de respecter très précisément les caractères de l'API, et de n'utiliser aucun signe externe à celui-ci. De même, l'usage des majuscules n'est autorisé que si le caractère correspondant de l'API le requiert. Une transcription informatique requiert l'usage des caractères Unicode.
  3. Il est conseillé de ne pas transcrire mot à mot, mais par groupe de mots enchaînés.
  4. Il est obligatoire de transcrire les liaisons usuelles. Les liaisons facultatives ne doivent être transcrites que si le locuteur originel, ou vous-même faites ces liaisons.
  5. Une transcription phonétique débute et termine obligatoirement par des crochets.
  6. Les signes de ponctuation doivent être absolument proscrits de toute transcription phonétique, car ils n'ont, dans ce cas, aucun sens, et peuvent porter à confusion avec des caractères de l'API.
  7. Les pauses simples doivent être indiquées avec une barre simple (|), les doubles pauses par une double barre (||).
  8. L'intonation est indiquée par un codage spécifique.
  9. La typographie d'un texte ne doit pas être respectée, et les sauts de lignes sont proscrits.
  10. Les signes diacritiques doivent être utilisés en cas de particularité 'phonétique d'un son'.Roses_12

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